Sábado, Abril 10
Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupery
PREMIER CHAPITRE
Lorsque j'avais six ans j'ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s'appelait "Histoires Vécues". Ca représentait un serpent boa qui avalait un fauve. Voilà la copie du dessin.
On disait dans le livre: "Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion".
J'ai alors beaucoup réfléchi sur les aventures de la jungle et, à mon tour, j'ai réussi, avec un crayon de couleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessin numéro 1. Il était comme ça:
J'ai montré mon chef d'oeuvre aux grandes personnes et je leur ai demandé si mon dessin leur faisait peur.
Elles m'ont répondu: "Pourquoi un chapeau ferait-il peur?"
Mon dessin ne représentait pas un chapeau. Il représentait un serpent boa qui digérait un éléphant. J'ai alors dessiné l'intérieur du serpent boa, afin que les grandes personnes puissent comprendre. Elles ont toujours besoin d'explications. Mon dessin numéro 2 était comme ça:
Les grandes personnes m'ont conseillé de laisser de côté les dessins de serpents boas ouverts ou fermés, et de m'intéresser plutôt à la géographie, à l'histoire, au calcul et à la grammaire. C'est ainsi que j'ai abandonné, à l'âge de six ans, une magnifique carrière de peinture. J'avais été découragé par l'insuccès de mon dessin numéro 1 et de mon dessin numéro 2. Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatigant, pour les enfants, de toujours leur donner des explications.
J'ai donc dû choisir un autre métier et j'ai appris à piloter des avions. J'ai volé un peu partout dans le monde. Et la géographie, c'est exact, m'a beaucoup servi. Je savais reconnaître, du premier coup d'oeil, la Chine de l'Arizona. C'est utile, si l'on est égaré pendant la nuit.
Quand j'en rencontrais une qui me paraissait un peu lucide, je faisait l'expérience sur elle de mon dessin no.1 que j'ai toujours conservé. Je voulais savoir si elle était vraiment compréhensive. Mais toujours elle me répondait: "C'est un chapeau." Alors je ne lui parlais ni de serpents boas, ni de forêts vierges, ni d'étoiles. Je me mettais à sa portée. Je lui parlais de bridge, de golf, de politique et de cravates. Et la grande personne était bien contente de connaître un homme aussi raisonnable.
Lorsque j'avais six ans j'ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s'appelait "Histoires Vécues". Ca représentait un serpent boa qui avalait un fauve. Voilà la copie du dessin.
On disait dans le livre: "Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion".
J'ai alors beaucoup réfléchi sur les aventures de la jungle et, à mon tour, j'ai réussi, avec un crayon de couleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessin numéro 1. Il était comme ça:
J'ai montré mon chef d'oeuvre aux grandes personnes et je leur ai demandé si mon dessin leur faisait peur.
Elles m'ont répondu: "Pourquoi un chapeau ferait-il peur?"
Mon dessin ne représentait pas un chapeau. Il représentait un serpent boa qui digérait un éléphant. J'ai alors dessiné l'intérieur du serpent boa, afin que les grandes personnes puissent comprendre. Elles ont toujours besoin d'explications. Mon dessin numéro 2 était comme ça:
Les grandes personnes m'ont conseillé de laisser de côté les dessins de serpents boas ouverts ou fermés, et de m'intéresser plutôt à la géographie, à l'histoire, au calcul et à la grammaire. C'est ainsi que j'ai abandonné, à l'âge de six ans, une magnifique carrière de peinture. J'avais été découragé par l'insuccès de mon dessin numéro 1 et de mon dessin numéro 2. Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatigant, pour les enfants, de toujours leur donner des explications.
J'ai donc dû choisir un autre métier et j'ai appris à piloter des avions. J'ai volé un peu partout dans le monde. Et la géographie, c'est exact, m'a beaucoup servi. Je savais reconnaître, du premier coup d'oeil, la Chine de l'Arizona. C'est utile, si l'on est égaré pendant la nuit.
Quand j'en rencontrais une qui me paraissait un peu lucide, je faisait l'expérience sur elle de mon dessin no.1 que j'ai toujours conservé. Je voulais savoir si elle était vraiment compréhensive. Mais toujours elle me répondait: "C'est un chapeau." Alors je ne lui parlais ni de serpents boas, ni de forêts vierges, ni d'étoiles. Je me mettais à sa portée. Je lui parlais de bridge, de golf, de politique et de cravates. Et la grande personne était bien contente de connaître un homme aussi raisonnable.
tinha de ser algarvio!
Porto-0 Corunha-1 ?!
Vem ao Porto no próximo dia 22, onde será orador numa conferência cujo tema é «As novas perspectivas com a vitória do PSOE em Espanha»!
Se a coisa não correr bem aos rapazes do Mourinho, o Francisco Assis arrisca-se a um novo episódio "Felgueiras"!
Eh!Eh!Eh!Eh!
O Incêndio
- "Ao convento! ao convento!" - Uiva de longe o vento.
É noite. E a multidão, descalça, esfomeada,
à luz de archotes, sobe a ladeira empedrada,
praguejando e gritando: - "Ao convento! ao convento!"
A onda do povo cresce e galga num momento.
Chispam ferros no ar. A porta, chapeada
de bronze, range, oscila e cai à machadada.
Nem um frade. Deserta a casa de S. Bento.
A multidão convulsa invade a portaria:
- "Fogo ao convento! fogo à igreja, à sacristia!"
O incêndio lavra, estoira o vigamento a arder.
Em baixo, o povo dança. E uma mulher grosseira
grita, rouca, atirando um Missal à fogueira:
- "Tanto livro, e ninguém nos ensinou a ler"!
Júlio Dantas
Sexta-feira, Abril 9
Paixão segundo S. Mateus
Bach compôs a Paixão segundo São Mateus para o serviço religioso de Sexta Feira Santa em 1729, na Igreja de S. Tomás, em Leipzig.
Durante a cerimónia, a obra era executada por inteiro, com um longo sermão entre as partes I e II.
A tradição de cantar a Paixão de Cristo (a história segundo os quatro Evangelhos, a prisão, crucificação e morte de Jesus), começara séculos antes.
De início, a narrativa era cantada por melodias simples.
Depois, os compositores, começaram gradualmente a aperfeiçoar o canto.
Compositores do Barroco tardio foram particularmente influenciados por duas novas formas musicais aparecidas no período: a ópera e o oratório.
A Paixão de S. Mateus de Bach é o culminar desta velha tradição de séculos.
E representa sem dúvida a mais bela narrativa da Paixão de todos os tempos.
A obra é a maior composição escrita por Bach, quer em duração, quer em executantes.
São necessários dois coros, com um terceiro coro de sopranos para o primeiro e último movimentos da 1.ª parte, duas orquestras, quatro solistas vocais e muitos outros solistas para as partes das diversas personagens.
O papel do Evangelista representa S. Mateus.
É quem conta a história.
Bach pôs este papel numa voz de tenor.
O Evangelista e as várias personagens são acompanhados por melodias simples da harpa e violoncelo. Todavia, Bach pôs a música de Jesus a ser acompanhada por uma orquestra de cordas, assim o distinguindo dos restantes personagens.
E é impressionante que, no momento da morte, ele diz as últimas palavras, acompanhado apenas pela harpa e violoncelo, enquanto a “sua” orquestra de cordas permanece silenciosa.
Não é certo quem preparou o libretto da Paixão de S. Mateus: o poeta Christian Friedrich Henrici ou o próprio Bach?
Os textos provêm de três fontes:
1) O Evangelho de S. Mateus, capítulos 26 e 27
2) Hinos tradicionais luteranos, chamados “corais”
3) poemas religiosos de Henrici (que usava o pseudónimo literário de Picander)
A construção desta obra épica é relativamente simples.
Bach pega na história, cena a cena. Em geral, principia com um pedaço da narrativa da Bíblia, tal como cantada pelo Evangelista e pelas várias personagens.
Depois, pára a cena para comentar o que acaba de acontecer.
O comentário é feito através de hinos tradicionais (corais), recitativos a solo e árias.
O coro desempenha dois papeis diferentes na obra. Algumas vezes são personagens da acção (por exemplo, a turba furiosa), outras vezes ficam fora da acção, tal como o coro na tragédia Grega.
No princípio e no fim das partes I e II, Bach colocou coros de introdução e fecho.
A Paixão segundo S. Mateus de Bach é uma das maiores obras musicais da civilização ocidental, que não é suplantada por qualquer ópera.
Fonte: Arlindo Correia
Drake Equation
"What do we need to know about to discover life in space?"
How can we estimate the number of technological civilizations that might exist among the stars? While working as a radio astronomer at the National Radio Astronomy Observatory in Green Bank, West Virginia, Dr. Frank Drake (now Chairman of the Board of the SETI Institute) conceived an approach to bound the terms involved in estimating the number of technological civilizations that may exist in our galaxy. The Drake Equation, as it has become known, was first presented by Drake in 1961 and identifies specific factors thought to play a role in the development of such civilizations. Although there is no unique solution to this equation, it is a generally accepted tool used by the scientific community to examine these factors.
--Frank Drake, 1961
The equation is usually written:
N = R* • fp • ne • fl • fi • fc • L
Where,
N = The number of civilizations in The Milky Way Galaxy whose electromagnetic emissions are detectable.
R* =The rate of formation of stars suitable for the development of intelligent life.
fp = The fraction of those stars with planetary systems.
ne = The number of planets, per solar system, with an environment suitable for life.
fl = The fraction of suitable planets on which life actually appears.
fi = The fraction of life bearing planets on which intelligent life emerges. For more information, please visit Dr. William Calvin's "The Drake Equation's fi"
fc = The fraction of civilizations that develop a technology that releases detectable signs of their existence into space.
L = The length of time such civilizations release detectable signals into space.
Within the limits of our existing technology, any practical search for distant intelligent life must necessarily be a search for some manifestation of a distant technology. In each of its last four decadal reviews, the National Research Council has emphasized the relevance and importance of searching for evidence of the electromagnetic signature of distant civilizations.
Besides illuminating the factors involved in such a search, the Drake Equation is a simple, effective tool for stimulating intellectual curiosity about the universe around us, for helping us to understand that life as we know it is the end product of a natural, cosmic evolution, and for making us realize how much we are a part of that universe. A key goal of the SETI Institute is to further high quality research that will yield additional information related to any of the factors of this fascinating equation.
Drake Equation Calculator
How can we estimate the number of technological civilizations that might exist among the stars? While working as a radio astronomer at the National Radio Astronomy Observatory in Green Bank, West Virginia, Dr. Frank Drake (now Chairman of the Board of the SETI Institute) conceived an approach to bound the terms involved in estimating the number of technological civilizations that may exist in our galaxy. The Drake Equation, as it has become known, was first presented by Drake in 1961 and identifies specific factors thought to play a role in the development of such civilizations. Although there is no unique solution to this equation, it is a generally accepted tool used by the scientific community to examine these factors.
--Frank Drake, 1961
The equation is usually written:
N = R* • fp • ne • fl • fi • fc • L
Where,
N = The number of civilizations in The Milky Way Galaxy whose electromagnetic emissions are detectable.
R* =The rate of formation of stars suitable for the development of intelligent life.
fp = The fraction of those stars with planetary systems.
ne = The number of planets, per solar system, with an environment suitable for life.
fl = The fraction of suitable planets on which life actually appears.
fi = The fraction of life bearing planets on which intelligent life emerges. For more information, please visit Dr. William Calvin's "The Drake Equation's fi"
fc = The fraction of civilizations that develop a technology that releases detectable signs of their existence into space.
L = The length of time such civilizations release detectable signals into space.
Within the limits of our existing technology, any practical search for distant intelligent life must necessarily be a search for some manifestation of a distant technology. In each of its last four decadal reviews, the National Research Council has emphasized the relevance and importance of searching for evidence of the electromagnetic signature of distant civilizations.
Besides illuminating the factors involved in such a search, the Drake Equation is a simple, effective tool for stimulating intellectual curiosity about the universe around us, for helping us to understand that life as we know it is the end product of a natural, cosmic evolution, and for making us realize how much we are a part of that universe. A key goal of the SETI Institute is to further high quality research that will yield additional information related to any of the factors of this fascinating equation.
Drake Equation Calculator
Quinta-feira, Abril 8
a Páscoa no mundo, vista pelos fotógrafos da Reuters
Ilha de Marinduque, nas Filipinas
Santiago de Compostela, Espanha
Jerusalém, Israel
Santiago de Compostela, Espanha
Jerusalém, Israel
de José Bento, por quem tenho estima pessoal
Porque o Fim de um Caminho...
Porque o fim de um caminho sempre me entregou
o limiar de outro caminho,
o verde de um campo ou de um corpo adolescente,
espero que regresse à minha voz
a luz que no primeiro dia a fecundou
e a terra que é o contorno dessa luz.
Porque espero ver crescer minhas mãos dessa terra
e de minhas mãos a água necessária à minha sede,
ergo de mim a noite residual do que vivi
e canto,
canto provocando a madrugada.
Porque outros entoarão meu requiem e outros cerrarão
minha pálpebras para defender meus olhos de suas lágrimas,
deixo essa glória aos outros
- e exalto o meu nascimento
e cada dia em que renasço e procuro
a boca ou o fruto onde se reflitam os meus lábios.
Porque, harmonizando-se no sangue o fogo e a água,
eu sou o fogo e a água:
por mim os cadáveres e quanto é feito de matéria dos cadáveres
libertar-se-ão em chamas, serão claridade
e chegarão a pão pela dádiva das cinzas,
a última dádiva, a total.
Porque o fim de um caminho sempre me entregou
o limiar de outro caminho,
o verde de um campo ou de um corpo adolescente,
espero que regresse à minha voz
a luz que no primeiro dia a fecundou
e a terra que é o contorno dessa luz.
Porque espero ver crescer minhas mãos dessa terra
e de minhas mãos a água necessária à minha sede,
ergo de mim a noite residual do que vivi
e canto,
canto provocando a madrugada.
Porque outros entoarão meu requiem e outros cerrarão
minha pálpebras para defender meus olhos de suas lágrimas,
deixo essa glória aos outros
- e exalto o meu nascimento
e cada dia em que renasço e procuro
a boca ou o fruto onde se reflitam os meus lábios.
Porque, harmonizando-se no sangue o fogo e a água,
eu sou o fogo e a água:
por mim os cadáveres e quanto é feito de matéria dos cadáveres
libertar-se-ão em chamas, serão claridade
e chegarão a pão pela dádiva das cinzas,
a última dádiva, a total.
Da Antiguidade a Newton
“(...) Um dia virá em que diligentes pesquisas trarão à luz factos agora ocultos... Um dia existirá alguém que revelará em que regiões têm os cometas as suas órbitas, porque se movem tão longe dos outros corpos celestes, quais as suas dimensões e de que espécie são.(...)”
Séneca
Representação chinesa da classificação de cometas (168 a.C.).
Os cometas foram, quase de certeza, observados desde tempos imemoriais.
Devido à ausência de documentos não é possível afirmar se as antigas civilizações deram aos cometas este ou aquele significado.
Há referências muito antigas aos seus aparecimentos atribuídas a Chineses, Japoneses, Coreanos e Babilónios.
Durante muitos anos os astrónomos sacerdotes chineses realizaram um grande número de observações. Uma das primeiras menções feitas a um cometa é de 1054 a.C. no livro do princípe Huai Nan.
Desde 240 a.C., só falharam o registo dos retornos do cometa que viria a receber o nome de Halley, no ano 164 a.C. Há centenas de registos de aparecimentos de cometas até 1600 d.C..
Os Chineses catalogavam os cometas como “estrelas com caudas” e foram os primeiros a verificar que essas caudas tinham a direcção anti-solar.
Os Caldeus, por seu lado, consideravam-nos como “aparecimentos” de planetas atribuindo-lhes, como os Chineses, uma origem celeste e também mística.
Curiosamente, a astronomia chinesa não parece ter progredido muito para além desse estado empírico. Como outros povos da época, eles limitaram-se a observar, inovaram ao registar, mas deixaram em aberto as questões do como e do porquê.
Como em muitos campos do conhecimento foi com os Gregos que começaram a aparecer estudos mais aprofundados.
Aliás, a palavra moderna “cometa” provém da palavra grega κομητηζ (kométes) que significa “de cabeleira comprida”.
Existem indícios de que a primeira interpretação grega sobre a natureza dos cometas é devida a Anaximandro de Mileto (610-545 a.C. (?)) mas a primeira descrição sobre a origem destes “fenómenos” é atribuída a Xenófanes de Colofão (560-478 a.C.(?)).
Xenófanes diz que os cometas são estruturas nebulosas de “fogo” produzidas por exalações invisíveis procedentes da Terra.
Em contraposição, os Pitagóricos consideram por volta de 550 a.C., que os cometas são planetas errantes que aparecem raramente, sobretudo próximo do horizonte ao amanhecer ou ao anoitecer. Demócrito (460-370 a.C.) e Anaxágoras (500-428 a.C.) também atribuem aos cometas uma origem celeste.
Eles aparecem como consequência da interacção da luz dos planetas que se alinham entre si ou com as estrelas, ou seja, quando há conjunção.
É surpreendente a opinião acertada de Artemidoro de Parium que, por volta de 450 a.C. supôs que os cometas eram planetas que unicamente se víam quando chegavam “ao final da sua vida”.
Artemidoro é recordado como um filósofo muito imaginativo nas suas teorias para explicar o Universo e era facilmente rebatido pelos seus contemporâneos.
Também por isso, as suas teorias sobre cometas foram esquecidas.
Hipócrates de Cós (460-380 a.C.) apresenta uma visão diferente por volta de 430 a.C..
Ele explica o carácter transitório dos cometas propondo que são ilusões de óptica produzidas pela luz solar em vapores da nossa atmosfera.
Na Antiga Grécia existiam, pelo menos, quatro interpretações diferentes para explicar a natureza dos cometas.
Foi, no entanto, a teoria de Aristóteles (384-322 a.C.), que era uma adaptação da de Xenófones, a que se impôs.
Aristóteles, seguindo a hipótese de Eudoxo de Cnidos (395-342 a.C.(?)), supõe que o Universo é formado por esferas concêntricas cujo centro é a Terra.
Quando a Terra é aquecida pelo Sol, a superfície emana “ventos quentes” que se acumulam na parte elevada da atmosfera.
Os cometas, assim como as estrelas cadentes eram originados por fricção dessas emanações terrestres com a primeira esfera, sendo portanto fenómenos atmosféricos.
Aristóteles deixa claro que estes fenómenos meteorológicos na atmosfera da Terra dão-se especificamente abaixo da Lua – fenómenos sub-lunares.
As emanações terrestres poderiam ter origem em gás quente e seco, que saía dos vulcões.
O gás sobe e ao atingir o céu é aquecido pelo Sol até se inflamar.
Por se encontrar no céu, o gás inflamado move-se com as estrelas e com os planetas.
Indo ainda mais longe, Aristóteles, como outros antes dele, estabeleceu a ligação entre uma série de desgraças ocorridas e o aparecimento dos cometas.
Com a expansão e prosperidade do Império Romano, a filosofia, as matemáticas e as ciências naturais passaram a ter um desenvolvimento mais lento.
Talvez por isso, foi completamente condenada ao esquecimento a pequena contribuição científica de Séneca (4 a.C.-65 d.C.) que expôs em Quaestiones Naturalis, livro 7, uma visão muito correcta sobre o que são os cometas e qual a sua natureza.
Séneca define-os como astros, corpos celestes com caminhos curvados no céu.
Os “cometas como astros”, deveriam conter uma “substância”, um corpo sólido e terroso que alimentasse o seu brilho ou “chama”, outro sentido para a palavra latina coma.
Séneca chega a afirmar que esse corpo sólido – o núcleo dos cometas – é esférico, sendo o seu brilho responsável pela sua extensão em longitude.
Sugere também que os cometas são periódicos, ou seja, que passam próximos do Sol de forma repetida.
Lamentavelmente, as suas ideias perderam-se na História e perdurou até ao fim da Idade Média a descrição aristotélica.
Espalhou-se também o carácter agoirento dos cometas.
Tapeçaria de Bayeux.
Durante a Idade Média avançou-se mais na arte e na teologia do que no conhecimento científico.
A Tapeçaria de Bayeux conta a história de como Guilherme da Normandia derrota o Rei Haroldo II, Saxão, Rei da Inglaterra em 1066, naquela que ficou conhecida como a Batalha de Hastings.
Uma parte da tapeçaria mostra um cometa (o Halley) e à sua direita aparece o Rei Haroldo II junto ao trono.
Há também pessoas a apontar para o céu retirando-se para dentro das muralhas da cidade, amedrontadas pelo desastre que o cometa anuncia.
Por cima, uma inscrição que diz «Isti mirant stella» (aqueles olham a estrela).
Pouco depois do aparecimento do cometa a 24 de Abril de 1066, Haroldo foi morto na batalha com uma seta que lhe entrou pelo olho e Guilherme tornou-se Rei.
Estabeleceu-se, naquele tempo, que o cometa estava do lado dos Normandos e de Guilherme.
O episódio foi tão importante que ainda hoje os Reis de Inglaterra trazem o simbolo de um cometa nas suas coroas.
A ideia da astrologia associando o aparecimento de cometas ao prenúncio da morte de monarcas perdurou durante muito tempo.
O Rei português Afonso VI, ao avistar um cometa em 1664, veio ao terraço e ameaçou-o com uma pistola...
Cometa de Giotto
A ideia da origem atmosférica dos cometas começa a declinar com a teoria heliocêntrica de Nicolau de Cusa (1400-1464) e de Copérnico (1473-1543) mas foi o astrónomo dinamarquês Tycho Brahe (1546-1601) quem, finalmente, eliminou as possíveis dúvidas sobre a origem celeste dos cometas.
Brahe, a partir de observações de um cometa brilhante que apareceu em 1577 e que foram realizadas a partir de dois observatórios diferentes, separados por 600 Km, mediu para a paralaxe horizontal, um valor a rondar os 15 minutos de arco.
Concluiu que o cometa deveria estar a uma distância quatro vezes superior à da Lua.
Os cometas já não podiam mais ser associados à região sublunar.
Apesar da descoberta, Brahe pensava que os cometas eram “exalações” dos planetas, sendo essa ideia ainda uma extensão das ideias aristotélicas.
Galileu (1564-1642) mantém-se conservador ao negar a importância das observações de Brahe, afirmando que os cometas são “ilusões” ou reflexos atmosféricos seguindo, de resto, a visão de Hipócrates.
Capa do livro “Cometografia” de Hevelius. Estão exibidas as três hipóteses aceites na época àcerca do movimento dos cometas. À esquerda aparece a ideia aristotélica de que os cometas são fenómenos atmosféricos. O astrónomo da direita defende a hipótese das trajectórias rectílineas de Kepler. O astrónomo do centro mostra que os cometas se movem em trajectórias parabólicas.
O astrónomo alemão Johannes Kepler (1571-1630) defende em 1596, na sua primeira obra, "Mysterium Cosmographicum", o sistema heliocêntrico de Copérnico.
Durante 17 anos, analisou os dados deixados por Brahe descobrindo as três leis do movimento planetário, em que um dos resultados importantes é a atribuição de órbitas quase circulares, porém elípticas, aos planetas em torno do Sol. Kepler também defende a natureza celeste dos cometas e em 1618, ao tentar explicar as observações de cometas que foram visíveis nesse ano, concluiu que as caudas deviam produzir-se graças a algum tipo de “força” devida à radiação solar.
De forma algo surpreendente, Kepler pensa que os cometas não se movem como os planetas e que se deslocam, no céu, em trajectórias rectilíneas.
Essa hipótese de Kepler contrastava com as observações do astrónomo Italiano Borelli (1608-1679) e com as do polaco Hevelius (1611-1687) que sugere uma órbita parabólica em torno do Sol, para um cometa que apareceu em 1665.
O pastor e decano alemão Dörffel (1643-1688) e, de forma independente, aquele que foi o primeiro astrónomo real inglês, John Flamsteed (1646-1719) mostram que a hipótese de uma órbita parabólica é consistente com as observações de um cometa muito brilhante que apareceu em 1680 e 1681.
Foi observado antes e depois da passagem no periélio, primeiro aproximando-se do Sol e de seguida afastando-se dele.
Nessa data, Newton (1642-1727) já tinha formulado mas não publicado a teoria da gravitação.
A partir dela demonstram-se as leis de Kepler e descreve-se o movimento de dois corpos sujeitos à interacção gravítica.
Em 1687, Newton apresenta nos Principia a lei da Gravitação Universal aplicada ao cometa de 1680 e mostra que a sua órbita é eliptíca, apesar de ser quase parabólica.
Calcula o valor de 0,0016 u.A. para a distância do cometa ao Sol no periélio.
Ainda assim, Newton, mais motivado pelos problemas pessoais que tinha com Flamsteed e Dörffel e não por razões científicas, objectou contra a hipótese das órbitas parabólicas mostrando-se, nessa altura, mais favorável à hipótese das trajectórias rectilíneas dos cometas, sugerida por Kepler.
Estavam dissipadas as dúvidas quanto à origem celeste dos cometas, no entanto, no que diz respeito à sua natureza, a maioria dos cientistas continuavam a pensar que os cometas tinham uma existência efémera.
Isto porque, ou eram uma nebulosa ou eram uma exalação difusa formada por um concentrado de vapores que acabavam por se dispersar.
Séneca
Representação chinesa da classificação de cometas (168 a.C.).
Os cometas foram, quase de certeza, observados desde tempos imemoriais.
Devido à ausência de documentos não é possível afirmar se as antigas civilizações deram aos cometas este ou aquele significado.
Há referências muito antigas aos seus aparecimentos atribuídas a Chineses, Japoneses, Coreanos e Babilónios.
Durante muitos anos os astrónomos sacerdotes chineses realizaram um grande número de observações. Uma das primeiras menções feitas a um cometa é de 1054 a.C. no livro do princípe Huai Nan.
Desde 240 a.C., só falharam o registo dos retornos do cometa que viria a receber o nome de Halley, no ano 164 a.C. Há centenas de registos de aparecimentos de cometas até 1600 d.C..
Os Chineses catalogavam os cometas como “estrelas com caudas” e foram os primeiros a verificar que essas caudas tinham a direcção anti-solar.
Os Caldeus, por seu lado, consideravam-nos como “aparecimentos” de planetas atribuindo-lhes, como os Chineses, uma origem celeste e também mística.
Curiosamente, a astronomia chinesa não parece ter progredido muito para além desse estado empírico. Como outros povos da época, eles limitaram-se a observar, inovaram ao registar, mas deixaram em aberto as questões do como e do porquê.
Como em muitos campos do conhecimento foi com os Gregos que começaram a aparecer estudos mais aprofundados.
Aliás, a palavra moderna “cometa” provém da palavra grega κομητηζ (kométes) que significa “de cabeleira comprida”.
Existem indícios de que a primeira interpretação grega sobre a natureza dos cometas é devida a Anaximandro de Mileto (610-545 a.C. (?)) mas a primeira descrição sobre a origem destes “fenómenos” é atribuída a Xenófanes de Colofão (560-478 a.C.(?)).
Xenófanes diz que os cometas são estruturas nebulosas de “fogo” produzidas por exalações invisíveis procedentes da Terra.
Em contraposição, os Pitagóricos consideram por volta de 550 a.C., que os cometas são planetas errantes que aparecem raramente, sobretudo próximo do horizonte ao amanhecer ou ao anoitecer. Demócrito (460-370 a.C.) e Anaxágoras (500-428 a.C.) também atribuem aos cometas uma origem celeste.
Eles aparecem como consequência da interacção da luz dos planetas que se alinham entre si ou com as estrelas, ou seja, quando há conjunção.
É surpreendente a opinião acertada de Artemidoro de Parium que, por volta de 450 a.C. supôs que os cometas eram planetas que unicamente se víam quando chegavam “ao final da sua vida”.
Artemidoro é recordado como um filósofo muito imaginativo nas suas teorias para explicar o Universo e era facilmente rebatido pelos seus contemporâneos.
Também por isso, as suas teorias sobre cometas foram esquecidas.
Hipócrates de Cós (460-380 a.C.) apresenta uma visão diferente por volta de 430 a.C..
Ele explica o carácter transitório dos cometas propondo que são ilusões de óptica produzidas pela luz solar em vapores da nossa atmosfera.
Na Antiga Grécia existiam, pelo menos, quatro interpretações diferentes para explicar a natureza dos cometas.
Foi, no entanto, a teoria de Aristóteles (384-322 a.C.), que era uma adaptação da de Xenófones, a que se impôs.
Aristóteles, seguindo a hipótese de Eudoxo de Cnidos (395-342 a.C.(?)), supõe que o Universo é formado por esferas concêntricas cujo centro é a Terra.
Quando a Terra é aquecida pelo Sol, a superfície emana “ventos quentes” que se acumulam na parte elevada da atmosfera.
Os cometas, assim como as estrelas cadentes eram originados por fricção dessas emanações terrestres com a primeira esfera, sendo portanto fenómenos atmosféricos.
Aristóteles deixa claro que estes fenómenos meteorológicos na atmosfera da Terra dão-se especificamente abaixo da Lua – fenómenos sub-lunares.
As emanações terrestres poderiam ter origem em gás quente e seco, que saía dos vulcões.
O gás sobe e ao atingir o céu é aquecido pelo Sol até se inflamar.
Por se encontrar no céu, o gás inflamado move-se com as estrelas e com os planetas.
Indo ainda mais longe, Aristóteles, como outros antes dele, estabeleceu a ligação entre uma série de desgraças ocorridas e o aparecimento dos cometas.
Com a expansão e prosperidade do Império Romano, a filosofia, as matemáticas e as ciências naturais passaram a ter um desenvolvimento mais lento.
Talvez por isso, foi completamente condenada ao esquecimento a pequena contribuição científica de Séneca (4 a.C.-65 d.C.) que expôs em Quaestiones Naturalis, livro 7, uma visão muito correcta sobre o que são os cometas e qual a sua natureza.
Séneca define-os como astros, corpos celestes com caminhos curvados no céu.
Os “cometas como astros”, deveriam conter uma “substância”, um corpo sólido e terroso que alimentasse o seu brilho ou “chama”, outro sentido para a palavra latina coma.
Séneca chega a afirmar que esse corpo sólido – o núcleo dos cometas – é esférico, sendo o seu brilho responsável pela sua extensão em longitude.
Sugere também que os cometas são periódicos, ou seja, que passam próximos do Sol de forma repetida.
Lamentavelmente, as suas ideias perderam-se na História e perdurou até ao fim da Idade Média a descrição aristotélica.
Espalhou-se também o carácter agoirento dos cometas.
Tapeçaria de Bayeux.
Durante a Idade Média avançou-se mais na arte e na teologia do que no conhecimento científico.
A Tapeçaria de Bayeux conta a história de como Guilherme da Normandia derrota o Rei Haroldo II, Saxão, Rei da Inglaterra em 1066, naquela que ficou conhecida como a Batalha de Hastings.
Uma parte da tapeçaria mostra um cometa (o Halley) e à sua direita aparece o Rei Haroldo II junto ao trono.
Há também pessoas a apontar para o céu retirando-se para dentro das muralhas da cidade, amedrontadas pelo desastre que o cometa anuncia.
Por cima, uma inscrição que diz «Isti mirant stella» (aqueles olham a estrela).
Pouco depois do aparecimento do cometa a 24 de Abril de 1066, Haroldo foi morto na batalha com uma seta que lhe entrou pelo olho e Guilherme tornou-se Rei.
Estabeleceu-se, naquele tempo, que o cometa estava do lado dos Normandos e de Guilherme.
O episódio foi tão importante que ainda hoje os Reis de Inglaterra trazem o simbolo de um cometa nas suas coroas.
A ideia da astrologia associando o aparecimento de cometas ao prenúncio da morte de monarcas perdurou durante muito tempo.
O Rei português Afonso VI, ao avistar um cometa em 1664, veio ao terraço e ameaçou-o com uma pistola...
Cometa de Giotto
A ideia da origem atmosférica dos cometas começa a declinar com a teoria heliocêntrica de Nicolau de Cusa (1400-1464) e de Copérnico (1473-1543) mas foi o astrónomo dinamarquês Tycho Brahe (1546-1601) quem, finalmente, eliminou as possíveis dúvidas sobre a origem celeste dos cometas.
Brahe, a partir de observações de um cometa brilhante que apareceu em 1577 e que foram realizadas a partir de dois observatórios diferentes, separados por 600 Km, mediu para a paralaxe horizontal, um valor a rondar os 15 minutos de arco.
Concluiu que o cometa deveria estar a uma distância quatro vezes superior à da Lua.
Os cometas já não podiam mais ser associados à região sublunar.
Apesar da descoberta, Brahe pensava que os cometas eram “exalações” dos planetas, sendo essa ideia ainda uma extensão das ideias aristotélicas.
Galileu (1564-1642) mantém-se conservador ao negar a importância das observações de Brahe, afirmando que os cometas são “ilusões” ou reflexos atmosféricos seguindo, de resto, a visão de Hipócrates.
Capa do livro “Cometografia” de Hevelius. Estão exibidas as três hipóteses aceites na época àcerca do movimento dos cometas. À esquerda aparece a ideia aristotélica de que os cometas são fenómenos atmosféricos. O astrónomo da direita defende a hipótese das trajectórias rectílineas de Kepler. O astrónomo do centro mostra que os cometas se movem em trajectórias parabólicas.
O astrónomo alemão Johannes Kepler (1571-1630) defende em 1596, na sua primeira obra, "Mysterium Cosmographicum", o sistema heliocêntrico de Copérnico.
Durante 17 anos, analisou os dados deixados por Brahe descobrindo as três leis do movimento planetário, em que um dos resultados importantes é a atribuição de órbitas quase circulares, porém elípticas, aos planetas em torno do Sol. Kepler também defende a natureza celeste dos cometas e em 1618, ao tentar explicar as observações de cometas que foram visíveis nesse ano, concluiu que as caudas deviam produzir-se graças a algum tipo de “força” devida à radiação solar.
De forma algo surpreendente, Kepler pensa que os cometas não se movem como os planetas e que se deslocam, no céu, em trajectórias rectilíneas.
Essa hipótese de Kepler contrastava com as observações do astrónomo Italiano Borelli (1608-1679) e com as do polaco Hevelius (1611-1687) que sugere uma órbita parabólica em torno do Sol, para um cometa que apareceu em 1665.
O pastor e decano alemão Dörffel (1643-1688) e, de forma independente, aquele que foi o primeiro astrónomo real inglês, John Flamsteed (1646-1719) mostram que a hipótese de uma órbita parabólica é consistente com as observações de um cometa muito brilhante que apareceu em 1680 e 1681.
Foi observado antes e depois da passagem no periélio, primeiro aproximando-se do Sol e de seguida afastando-se dele.
Nessa data, Newton (1642-1727) já tinha formulado mas não publicado a teoria da gravitação.
A partir dela demonstram-se as leis de Kepler e descreve-se o movimento de dois corpos sujeitos à interacção gravítica.
Em 1687, Newton apresenta nos Principia a lei da Gravitação Universal aplicada ao cometa de 1680 e mostra que a sua órbita é eliptíca, apesar de ser quase parabólica.
Calcula o valor de 0,0016 u.A. para a distância do cometa ao Sol no periélio.
Ainda assim, Newton, mais motivado pelos problemas pessoais que tinha com Flamsteed e Dörffel e não por razões científicas, objectou contra a hipótese das órbitas parabólicas mostrando-se, nessa altura, mais favorável à hipótese das trajectórias rectilíneas dos cometas, sugerida por Kepler.
Estavam dissipadas as dúvidas quanto à origem celeste dos cometas, no entanto, no que diz respeito à sua natureza, a maioria dos cientistas continuavam a pensar que os cometas tinham uma existência efémera.
Isto porque, ou eram uma nebulosa ou eram uma exalação difusa formada por um concentrado de vapores que acabavam por se dispersar.
Paixão de Cristo
A cena inicial, no jardim de Getsêmane, com Jesus aflito, ciente de que sua tortura está prestes a começar, é o primeiro momento de grande profundidade, através daquele olhar bondoso, naquele belo lugar, carregado de religião, medo, traição!
Estupenda fotografia! Fortíssimo, o código linguístico!
A expressão da dôr física - sem perder a bondade no olhar, mais do que a barbárie dos seus carrascos, acompanhou-me durante todo o filme.
A compaixão que transmite Cláudia, mulher de Pilatos, ao entregar toalhas limpas à mãe de Cristo após a tortura!
O flash-back de Maria, ao vê-lo tombar, transporta-nos à infância do menino, e ao amor maternal.
Gostei muito deste retrato das última horas de vida de Jesus Cristo.
Em relação às polémicas em torno do filme, mantenho o que disse!
Once you stop screaming, then you'll start talking about it.
Massacre no Texas - "Texas Chain Saw Massacre, The (1974) " realizado por Tobe Hooper.
Era uma lacuna na minha dêvêdeteca, que foi hoje colmatada!
Veio da Fnac ( ficaram lá mais alguns)!
É um dvd Zona 1, mas não se pode ter tudo!
Quarta-feira, Abril 7
as hipóteses do FC Porto estão a aumentar..
..e as do Carlos Queirós a diminuir..
É pena!
A carta aberta a Souto Moura publicada no Repórter X pelo Jorge Van Krieken
é uma peça digna de ser lida por todos os jornalistas ( principalmente os que fazem investigação) e por todas as pessoas que acreditam que se pode fazer investigação neste país sem estar engajado no sistema. Porque ele existe! E porque este Procurador tem sido pouco menos que infeliz cada vez que presta declarações à comunicação social. E nem é necessário particularizar!
Só para quem possa andar distraído!
é uma peça digna de ser lida por todos os jornalistas ( principalmente os que fazem investigação) e por todas as pessoas que acreditam que se pode fazer investigação neste país sem estar engajado no sistema. Porque ele existe! E porque este Procurador tem sido pouco menos que infeliz cada vez que presta declarações à comunicação social. E nem é necessário particularizar!
Só para quem possa andar distraído!
Terça-feira, Abril 6
Desapareceram os meus links!
Enconte á vida, ásperanssa!
Enconte á vida, ásperanssa!
Segunda-feira, Abril 5
da ECM
Este fim-de-semana, trouxe o Jack DeJohnette - Selected Recordings.
Mais do mesmo, ou seja, é tudo para trazer, ouvir e guardar.
É bastante difícil ter de optar; com a qualidade da série :Rarum, dá vontade de meter 3 ou 4 de cada vez debaixo do braço e vir a correr para casa.
Uma amostra representativa do universo de que falo:
Com a participação de:
Jack DeJohnette, bateria e piano / John Abercrombie, guitarra
Lester Bowie, trompete / Dave Holland, baixo / Keith Jarrett, piano
John Surman, saxofone barítono...
A minha faixa favorita é Silver Hollow, com DeJohnette, Abercrombie, Bowie e Eddie Gomez.
Outras escolhas obrigatórias, para mim:
Com a participação de:
Joe Lovano / Paul Motian / Jan Garbarek / Lee Konitz / Dave Holland / John Surman
Com a participação de:
John Abercrombie / Jack DeJohnette / Steve Coleman / Cassandra Wilson
Kevin Eubanks / Chris Potter / Anthony Braxton
Outras obras indispensáveis:
Isto é uma maravilha!
Mais do mesmo, ou seja, é tudo para trazer, ouvir e guardar.
É bastante difícil ter de optar; com a qualidade da série :Rarum, dá vontade de meter 3 ou 4 de cada vez debaixo do braço e vir a correr para casa.
Uma amostra representativa do universo de que falo:
Com a participação de:
Jack DeJohnette, bateria e piano / John Abercrombie, guitarra
Lester Bowie, trompete / Dave Holland, baixo / Keith Jarrett, piano
John Surman, saxofone barítono...
A minha faixa favorita é Silver Hollow, com DeJohnette, Abercrombie, Bowie e Eddie Gomez.
Outras escolhas obrigatórias, para mim:
Com a participação de:
Joe Lovano / Paul Motian / Jan Garbarek / Lee Konitz / Dave Holland / John Surman
Com a participação de:
John Abercrombie / Jack DeJohnette / Steve Coleman / Cassandra Wilson
Kevin Eubanks / Chris Potter / Anthony Braxton
Outras obras indispensáveis:
Isto é uma maravilha!
Aula de Amor
Mas, menina, vai com calma
Mais sedução nesse grasne:
Carnalmente eu amo a alma
E com alma eu amo a carne.
Faminto, me queria eu cheio
Não morra o cio com pudor
Amo virtude com traseiro
E no traseiro virtude pôr.
Muita menina sentiu perigo
Desde que o deus no cisne entrou
Foi com gosto ela ao castigo:
O canto do cisne ele não perdoou
Poema de Bertolt Brecht, gravura de Pablo Picasso
Nevermind
Passam dez anos sobre a morte de Kurt Cobain.
Nevermind. The music remains!
Domingo, Abril 4
Poema destinado a haver domingo
Bastam-me as cinco pontas de uma estrela
E a cor dum navio em movimento
E como ave, ficar parada a vê-la
E como flor, qualquer odor no vento.
Basta-me a lua ter aqui deixado
Um luminoso fio de cabelo
Para levar o céu todo enrolado
Na discreta ambição do meu novelo.
Só há espigas a crescer comigo
Numa seara para passear a pé
Esta distância achada pelo trigo
Que me dá só o pão daquilo que é.
Deixem ao dia a cama de um domingo
Para deitar um lírio que lhe sobre.
E a tarde cor-de-rosa de um flamingo
Seja o tecto da casa que me cobre
Baste o que o tempo traz na sua anilha
Como uma rosa traz Abril no seio.
E que o mar dê o fruto duma ilha
Onde o Amor por fim tenha recreio.
Natália Correia
Poesia Completa
Publicações Dom Quixote,1999
E a cor dum navio em movimento
E como ave, ficar parada a vê-la
E como flor, qualquer odor no vento.
Basta-me a lua ter aqui deixado
Um luminoso fio de cabelo
Para levar o céu todo enrolado
Na discreta ambição do meu novelo.
Só há espigas a crescer comigo
Numa seara para passear a pé
Esta distância achada pelo trigo
Que me dá só o pão daquilo que é.
Deixem ao dia a cama de um domingo
Para deitar um lírio que lhe sobre.
E a tarde cor-de-rosa de um flamingo
Seja o tecto da casa que me cobre
Baste o que o tempo traz na sua anilha
Como uma rosa traz Abril no seio.
E que o mar dê o fruto duma ilha
Onde o Amor por fim tenha recreio.
Natália Correia
Poesia Completa
Publicações Dom Quixote,1999
Neste momento está a passar na 2 a série "Charlie Brown"!
Não há uma lei que proíba a dobragem disto?!
O «sistema» é o povo, estúpido!
Sobre a Convenção da Nova Democracia, a notícia do Jornal Digital reflete o deserto de ideias de um movimento que nasce com os vícios dos velhos partidos da nossa jovem democracia.
Quando surge um força política que pretende ocupar o espaço de centro-direita (como o BE tem feito, e bem, no pólo oposto), deve afirmar-se descomplexadamente, dizendo claramente às pessoas que são de direita. Mas falta-lhes identidade.
Ao contrário do CDS-PP, rico em personalidades com ideias próprias sobre o papel que a direita democrática deve desempenhar no nosso sitema partidário, a liderança da Nova Democracia é acéfala.
A comparação à extrema-direita francesa feita pelo professor Marcelo faz sentido, porque não há mais à direita que eles em Portugal, e isso só por si não teria mal nenhum. O problema é que eles vêm isso como um ataque, e ainda conseguem fulanizar a questão, dizendo que é um ataque ao líder.
Manuel Monteiro tem a pretensão de assumir uma importância que de facto não tem.
A desconstrução que pretende fazer da actuação do actual governo, com o objectivo claro de atingir o PP, é confrangedora.
Manuel Monteiro definiu como meta do PND a governação do país, embora reconhecendo que «o sistema» fará tudo para que isso não aconteça.
Quando surge um força política que pretende ocupar o espaço de centro-direita (como o BE tem feito, e bem, no pólo oposto), deve afirmar-se descomplexadamente, dizendo claramente às pessoas que são de direita. Mas falta-lhes identidade.
Ao contrário do CDS-PP, rico em personalidades com ideias próprias sobre o papel que a direita democrática deve desempenhar no nosso sitema partidário, a liderança da Nova Democracia é acéfala.
A comparação à extrema-direita francesa feita pelo professor Marcelo faz sentido, porque não há mais à direita que eles em Portugal, e isso só por si não teria mal nenhum. O problema é que eles vêm isso como um ataque, e ainda conseguem fulanizar a questão, dizendo que é um ataque ao líder.
Manuel Monteiro tem a pretensão de assumir uma importância que de facto não tem.
A desconstrução que pretende fazer da actuação do actual governo, com o objectivo claro de atingir o PP, é confrangedora.
Manuel Monteiro definiu como meta do PND a governação do país, embora reconhecendo que «o sistema» fará tudo para que isso não aconteça.
La Ballade...
Procuro..
uma ilha chamada..